Si chacun voit le monde différemment, l’art ne serait-il pas la manière la plus pertinente de communiquer ?
Et puisqu’une image vaut mille mots, sans doute les artistes sont-ils tous de grands bavards…
Loin de déroger à cette règle, je considère que la création picturale, au-delà de son aspect décoratif, se doit d’être parlante. Délivrer un message, transmettre une vision, raconter une histoire tout en partageant une émotion.
Je laisse donc la parole à l’image…
Sur le chevalet…
Ma dernière peinture en cours du moment. Un instantané de l’évolution du travail au fil de sa création.
Ganesha Mandala
Crayon et peinture numérique.
Œuvre en cours 2019
Déjà exposés…
Variations sur les éléments
L’eau et le feu – Peintures libres en camaïeu, entre le figuratif et l’abstrait…
Dies Irae N°1 – Acqua Vivace
Acrylique sur toile.
65 x 50 cm.
2010
Dies Irae N°2 – Allegro Con Fuoco
Acrylique sur toile.
50 x 65 cm.
2011
Mandalas
Thankas
Dans ces deux mandalas, réalisés au Népal suivant la technique traditionnelle de dorure à l’or fin (voir l’article sur le brunissage de l’or), j’attribue au Phénix le caractère spirituel et au Paon le caractère matériel. Deux pôles complémentaires qui ne sont pas sans rappeler la forme du Tao (le Yin et le Yang).
Mandala du Phénix et du Paon Numéro 2 ; A
Acrylique sur toile et brunissage de l’or à la manière des thankas népalais.
47 x 57 cm.
2009
Mandala du Phénix et du Paon Numéro 2 ; B
Acrylique sur toile et brunissage de l’or à la manière des thankas népalais.
47 x 57 cm.
2009
Collage et art numérique
Mandala Morphose – Kalachakra
Peinture numérique et collage.
Dimensions de l’image 54 x 54 cm.
2005
Ici, la structure architecturale se réfère au mandala de Kalachakra, dont j’ai effacé toutes les figures allégoriques liées aux divinités bouddhistes qui le jalonnent. Vidé de sa substance religieuse, je livre ainsi mon interprétation purement graphique de sa symbolique générale.
Les motifs en réseaux à l’extérieur du mandala représentent « les 8 consciences » selon la pensée du bouddhisme tibétain. C’est-à-dire la manière de percevoir le monde à travers la condition de l’être et les cinq sens. À savoir, en partant du côté en haut à droite (en jaune) et dans le sens des aiguilles d’une montre : La vue, l’ouïe, l’odorat, le goût, l’intellect, le toucher, le karma, et enfin, en rouge, à travers le filtre des émotions.
Pour plus de détails : voir l’article sur le mandala.
La Ville Lumière
Un éloge onirique à ma ville natale.
Rêve de Paris
Peinture numérique et collage.
(Modèle d’exposition de 2010)
70 x 100 cm.
2001 / 2010